L’Institut du Monde Arabe à Paris, un lieu de rencontres entre les cultures arabe et occidentale. Son esplanade, un espace laissé vide, appelle à être investie pour renforcer l’idée de passerelle, qantara, entre ces deux mondes.
Dans un jeu de montré-caché en écho aux moucharrabiehs, un salon de thé se dessine. Dans les alcôves définies par les paravents ajourés, coussins, banquettes et tapis aux motifs géométriques revisités se prêtent à différentes assises.